J'ai toujours eu cette hantise de me faire happer par un rythme de vie effréné et de me réveiller à leur mort en me disant que je n'ai pas profité d'eux, que je n'ai pas été présente avec eux.
Alors quand je suis entrée dans la vie active que les projets ont commencé à s'accumuler, les engagements, les demandes, les enjeux, les deadlines, le stress...
… et que j’ai entendu ma mère et des amis me dire des choses comme “on ne peut jamais te parler, ce n’est jamais le bon moment, tu es toujours à cran” ou “on ne te voit plus, tu ne fais que travailler, on n’ose plus rien te demander”.